
Dans tes mains tu tiens mon âme
Sans toi, mille cathédrales n’ont ni puissance ni charme
La nuit, au loin, j’entends les fanfares, les clairons des piètres orateurs, l’évidence ne se pare pourtant point de drames
Vivre masqué, engoncé dans les costumes des ambassades, le chant des sirènes et autres bardes
Ne plus jamais revivre ces épouvantables commedias, délivre-moi des lamentables mascarades
De nos oeuvres alchimiques, dans le sillage d’un seul homme ou peut-être d’une seule femme, même si les mots s’effacent sur le sable, je toucherai des doigts l’éternelle Monade
Théo
StarseedAstro
